Je promenais mes curseurs oculaires*,
Et j’ai vu affleurer sur tes joues,
L’expression de la bonne humeur.
Sans coup férir,
Tu m’assujettis à ton joug.
Lynchage dans mon thorax,
Estocades de clins d’œil,
Pour m’engloutir,
Dans une cascade de systoles.
La verdure a besoin de soleil,
Moi, captif converti,
De l’éclat de ton sourire,
J’ai besoin pour rester.
Note: *= yeux
Merci beaucoup bro. Courage surtout
Merci Bro. thanks!