Au bout de ces vers, il y a toi
Et tes amours diluviennes.
Toutes ces passions sans voix
Qui se dessinent, encre de Chine.
Un fébrile adieu, pas ne suffira
Te dire combien, ici, on s’aime.
Enfin le train, vers ce Walhalla
Aigle de sang, cœur d’hommes.
Sous le chêne, tu reposes
Tes muses à l’eau de rose.
Un merci avant l’arthrose,
Quand l’espoir fait Pause.
Car ta vie, Elle te ressemble,
Immortelle, tu es il me semble.
Va et chante, toutes les fables
Quand ici, tout mortel s’affole.
Petit hommage à Françoise Hardy,
Elle a bercé et elle bercera…
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