Ode à la nature

Mon ciel pleure,
Ma terre a mal au cœur,
Et ma mer a changé de couleur,
Car un per-vers d’ici et d’ailleurs
A voulu changer leurs humeurs.

Que restera-t-il à notre dame nature,
Si ce n’est un stérile paysage d’or-dures.
Quel air bercera les générations futures,
À part le refrain de cyanures et de chlorures.

Lève-toi, ensemble avec moi,
Demain, nous serons alors trois,
C’est la meilleure des voies,
Pour entendre sa belle voix,
Qui raisonne dans l’inconnu, le soi.

Ce n’est qu’avec sa clémence fidèle,
Qu’on goûte au plus doux des miels,
Et s’il arrive qu’elle se rebelle, la belle,
Les adieux se feront sans nouvelles.

 

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