S’il m’était donné de choisir entre le devoir et le plaisir,
J’aurais fait confiance aux souverains souvenirs
Où les hommes n’avaient que pour seul devoir
De passer la vie à l’heure du temps
De donner vie à des enfants
Qui eux-mêmes trouvèrent plaisant le devoir
D’ensemencer la terre, et y répandre le reflet,
De leurs ascendants
Qu’ils ont à leur tour copié
Sans jamais demander à reprendre un quelconque héritage
Se plaisant impotents, dans le voyage inévitable De la vie, parce qu’elle est soi-disant inestimable.
Moi, je vois le sort chaque fois
Boire à la source de mes larmes.
Peut-être me diront-ils inexcusable.
Fermer les commentaires