Agacée, surtout menacée,
Et pourtant cette vue ne sera jamais assez,
Son regard criait toute une poésie,
Que le mien pouvait à peine en faire saisie.
Ce regard aussi profond qu’éreintant,
Ce regard aussi beau qu’agaçant,
Mon être se décomposa à cette horrible belle vue,
Mon cœur se reprocha de ne pouvoir baisser la vue.
Sa seule présence fut féérique,
Sa démarche si angélique,
Je priai pour un sourire que je regrettai si tôt,
Il ne m’était point adressé, et mon cœur fit juste un saut.
Sa présence seule fut si rassurante,
Son sourire, taupe, si apaisant,
Sorti, il s’en alla avec une partie de moi,
J’aurais voulu garder un peu de lui…