Juma, l’amertume des rêves brisés

Juma

Dans les terres lointaines de l’Afrique,
Là où les contes fleurissent et nichent,
Une enfant rêvait de mille merveilles,
De machines et de mondes hors du réel.

Elle aimait les légendes qui promettaient
De la technologie étonnante et de la magie,
Des robots géants et des machines volantes,
Des merveilles inégalées et dépassantes.

Mais un jour, dans la forêt lointaine,
Elle découvrit un cube lumineux,
Et sans réfléchir toucha la technologie,
Et si soudainement plongea dans la tragédie.

Elle fut emportée dans un monde brillant,
Dominé par les machines et les autorités,
Où la chaleur humaine était absente,
Là où l’amour et l’espoir ne faisaient plus sens.

Les robots froids et sans sentiments,
L’avaient protégée mais sans chaleur,
Et la petite fille se sentait perdue,
Dans un monde étranger où elle n’avait plus sa place.

Les larmes coulaient sur ses joues,
Comme un torrent d’amertume et de peine,
Elle regrettait sa naïveté enfantine,
De croire en une technologie sans égale.

À jamais prisonnière de cet univers,
La petite fille désespérait de rentrer,
Dans son monde d’amis et de chaleur,
Qu’elle avait quitté le cœur lourd de regrets.

Telle est la tragédie de Juma, hélas,
Qui nous enseigne que la technologie,
Ne peut remplacer l’amour et la passion,
De vivre la vie avec émotion et raison.

Crédit photo : noticiasdatv (photo d’Alanis Guillen alias Juma Marrua)

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  1. Waaahh, c’est vraiment épatant d’avoir un texte aussi en rime, avec un un fond captivant du début à la fin….c’est vraiment une main de maitre qui a écris ces mots

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